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La reconnaissance de la Palestine par la France, que Paris entend officialiser lors d’une conférence internationale à New York fin septembre, suscite de vives réactions en Israël. Le ministre des Affaires étrangères israélien accuse Emmanuel Macron de « saper la stabilité » régionale, tandis que le président français maintient que seule la solution à deux États peut offrir une perspective de paix durable.

La Belgique a annoncé qu’elle reconnaîtra officiellement l’État de Palestine à l’Assemblée générale des Nations Unies, prévue du 9 au 23 septembre à New York. Elle rejoint ainsi plus d'une dizaine de pays occidentaux prêts à rejoindre le mouvement initié cet été par la France.

Dans une lettre rendue publique mardi 26 août, Emmanuel Macron a directement répondu aux critiques de Benyamin Netanyahou, qui l’accusait de nourrir l’antisémitisme en France par son soutien à la reconnaissance d’un État palestinien.

L'initiative a été annoncée par l'émissaire spéciale de Donald Trump, Steve Witkoff. La réunion portera précisément sur "le jour d'après" à Gaza.

Alors que les tensions entre Paris et Tel-Aviv se sont encore accentuées — Benjamin Netanyahu reprochant à Emmanuel Macron d’attiser la haine antisémite —, le président du Crif a réagi mercredi. Il a souligné que « la lutte contre l’antisémitisme est une cause trop fondamentale pour être transformée en sujet de discorde diplomatique ».

Emmanuel Macron estime que le plan de conquête de la ville de Gaza, approuvé mercredi par le ministère de la Défense israélien, « entraînera la région dans une guerre permanente ».

Benyamin Netanyahou a adressé une lettre à Emmanuel Macron à la suite du projet de reconnaissance par la France d’un Etat palestinien.

Le Premier ministre israélien s’est exprimé ce dimanche devant la presse internationale, après l’annonce d’un nouveau plan militaire prévoyant la prise de Gaza.

Le Premier ministre israélien a confié, dans une interview à Fox News ce jeudi, que la future prise de contrôle de la bande de Gaza vise à « supprimer le Hamas » et permettre une « gouvernance civile ».

Le Premier ministre israélien a tenu à exprimer son émotion après la publication d'images d'otages, diffusées par le Hamas et le Jihad islamique.

En visite aux États-Unis, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu fait face à une intensification des pressions diplomatiques, notamment de la part de l’ancien président Donald Trump, pour conclure un accord mettant fin à la guerre à Gaza.

Reçu à la maison blanche, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a annoncé avoir présenté le président Trump au prix Nobel de la Paix tout en réaffirmant sa position sur la question palestinienne : « Les Palestiniens devraient avoir tous les pouvoirs pour se gouverner eux-mêmes, mais aucun pouvoir pour nous menacer », a-t-il déclaré.

Vilipendé sur la scène internationale pour la brutalité employée à Gaza, contesté en Israël pour sa responsabilité dans le 7 octobre comme pour sa gouvernance, le premier ministre israélien peut néanmoins se targuer d’un bilan militaire qui l’a d’ores et déjà fait entrer de plain pied dans l’Histoire. Sera-t-il l’homme qui réussit une vraie paix au Moyen-Orient et avec les Palestiniens ?

Donald Trump est intervenu dans les affaires judiciaires israéliennes en apportant un soutien appuyé à Benjamin Netanyahu. L’ancien président américain a dénoncé les poursuites pénales engagées contre le Premier ministre israélien, qu’il a qualifiées de « chasse aux sorcières ridicule ». Sur son réseau Truth Social, Trump a fustigé un système judiciaire qu’il juge partial, déclarant en lettres capitales : « CE SIMULACRE DE JUSTICE NE PEUT ÊTRE TOLÉRÉE ».

L’Iran a tiré ce dimanche de nouvelles salves de missiles contre Israël tuant 10 personnes. L’aviation israélienne a bombardé des sites liés au nucléaire et des dépôts de carburant à Téhéran.

Selon le Premier ministre israélien, le régime des mollahs paiera « un prix très lourd pour le meurtre prémédité de civils » en Israël suite aux frappes de missiles de ces derniers jours.

« Que leur mémoire soit bénie », a déclaré ce jeudi le Premier ministre Benyamin Netanyahou dans un communiqué, après l’annonce de la mort de deux otages israéliens. Ces derniers avaient été tués lors des attaques du 7 octobre, avant que leurs corps ne soient emportés vers la bande de Gaza.

Alors qu’Israël poursuit son offensive contre le Hamas, la position d’hostilité de certains leaders européens pourrait avoir de graves conséquences, bien au-delà du Proche-Orient.

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a répondu au communiqué des deux dirigeants européens Emmanuel Macron et Keir Starmer en fustigeant leur initiative.

Le Premier Ministre israélien a annoncé vouloir prendre le contrôle de toute la bande de Gaza par les armes.